Comment dégraisser un disque d’embrayage ?
Montage de l’accouplement
À la fin de cette deuxième partie de notre manuel d’assemblage d’embrayage , vous obtiendrez non seulement une image générale de l’échelle de la tâche, mais aussi toutes les cartes en main pour aborder le travail sereinement. Encore une fois, le sérieux et la propreté seront une garantie de sécurité. On ne se moque pas de l’embrayage.
Ici vous trouverez la première partie du tutoriel : Démontage de l’embrayage
Avant d’attaquer l’assemblage des nouveaux éléments, vérifiez à l’acquittement s’ils correspondent bien aux vôtres. La bague dentée du volant d’inertie doit être identique sur les deux modèles, et le disque doit glisser doucement sur les cannelures de l’axe primaire. Il serait dommage de se rendre compte qu’il y a une préoccupation lors de l’examen de la boîte et de la force comme un âne au risque de se blesser ! Toutes les chambres, toutes les deux neuves comme vieux, devrait être propre. Notez également que la phase de serrage des vis (volant d’inertie et plaque de pression) est extrêmement importante ! Il devrait être effectué avec le plus grand soin et sérieux ! Les vibrations générées par le moteur et les efforts considérables causés par la vitesse de rotation élevée ont mis les différents éléments à l’épreuve. Le rodage est un aspect crucial de l’ « après assemblage ». Le disque et les deux surfaces qui pressent prennent un peu de temps avant qu’ils soient pleinement opérationnels. Le premier kilomètre, essayez d’avoir les deux pieds légers ! Ce serait stupide d’avoir à tout démonter à nouveau à cause d’un disque glacé ou d’un volant déformé ! Nous vous conseillons de conduire normalement (levage progressif de la pédale gauche, pas de régime élevé, etc.) environ 500 km avant que l’embrayage puisse être entièrement demandé. Bien sûr, 500 km de l’autoroute ne comptent pas comme 500 km d’embouteillages 🙂
A lire aussi : Obtenir son permis moto sans se ruiner : astuces et conseils